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 Rallen Héméra

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Rallen Héméra
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Rallen Héméra


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MessageSujet: Rallen Héméra   Rallen Héméra EmptyMar 14 Juin - 6:51

    « Ήμεραι είσιν »



    Notre monde est grand.

    « Soumise à l’attraction solaire depuis des milliards d’années, notre planète, bien qu’ayant traversé de nombreuses crises dues à des intempéries spatiales de plus en plus violentes, a continuer d’évoluer jusqu’à disposer du plus haut niveau de technologie jamais atteint. Aujourd’hui encore, plusieurs navettes inhabitées ont été envoyées dans l’espace, avec pour but de localiser d’autres planètes capables d’abriter la vie.
    Les sondes Techmérion XII et Héméra X pénètrent actuellement dans la stratosphère terrestre ; leur retour est impatiemment attendu par les scientifiques de l’USS. C’est la fin de ce reportage, merci de nous avoir suivis en direct de l’Holovision Studio. »

    Maman dit que nos vaisseaux sont capables de nous transporter loin dans l’espace, au-delà des limites de notre Galaxie. Je ne peux pas m’imaginer de monde plus fantastique que l’Univers infini. Et pourtant, il m’effraie, me fascine. Papa travaille à l’USS, il m’a dit que c’étaient les initiales de l’Union de la Sécurité Stellaire. Maman m’a expliqué que c’était une organisation très importante, et qu’elle aidait à préserver la paix sur notre petite planète brumeuse. Quand je lui ai demandé ce que voulait dire « organisation », elle m’a répondu avec un sourire que ce mot désignait un groupe de personnes travaillant dans le même but, et a ajouté que dans le cas de l’USS, ce groupe de personne était énorme.

    J’aimerais lui poser encore des questions sur l’Espace, mais elle m’envoie voir Papa, qui est toujours fatigué et irritable quand il rentre du travail, tard, le soir. J’évite de lui parler, le soir. Pour lui adresser la parole, je dois me lever très tôt, le matin, avant qu’il ne parte travailler, et le questionner sur les recherches que mènent ses scientifiques, ou sur les hommes que ses patrouilles arrêtent ‘‘parce qu’ils ont commis une faute grave’’. Mais le plus souvent, il me répond que je suis trop petit pour comprendre.

    Mais c’est totalement faux. J’ai huit ans et demi, je peux tout comprendre, si on m’explique. D’ailleurs, les Maîtres de Classes n’ont pas l’air de le savoir ; ils pensent que je suis incapable de réfléchir correctement, et que, à mon âge, je devrais au moins savoir faire la différence entre une route transcéleste et une voie météorine. Pour moi, la seule différence qu’il y a entre ces deux axes de communication, c’est leur nom. Comment suis-je censé me rappeler qu’une route transcéleste permet aux vaisseaux de circuler librement alors qu’une voie météorine est régulièrement contrôlée, et surveillée en permanence par l’USS ? Vous pouvez me le dire ?

    Ces professeurs répètent sans arrêt que ma sœur est plus vive d’esprit que moi, et que ce n’est pas normal, parce qu’on a le même âge. Maman dit qu’on est des faux jumeaux, parce qu’on est nés le même jour, mais qu’on ne se ressemble pas. Et ça donne une raison de plus aux instituteurs de préférer ma sœur. Pourtant, les autres élèves de ma classe m’aiment bien. D’ailleurs, c’est moi qu’ils suivent lorsqu’on fait une sortie à l’Holocinéma, et c’est moi qu’ils veulent imiter quand on fait des séances d’initiation à l’utilisation des Vélocidromes – sortes de machines motorisées à deux roues ne pouvant pas dépasser le vaisseau le plus lent de la planète et destinée aux enfants de huit à dix-huit ans.

    D’ailleurs, c’est toujours moi le meilleur en course d’aéroglisseur, matière qu’il faudrait instaurer à l’école pour rattraper un peu mes autres notes… Mais les Maîtres des Classes ne veulent pas, ça ne doit pas faire assez intelligent pour eux. Pourtant c’est amusant, ça améliore les réflexes et ça favorise la création de liens d’amitié entre les participants, d’après le Grand Lexique Général qu’on trouve dans la Virtuothèque de l’école, et qu’on nous oblige à apprendre par cœur durant nos quatre années de classes inférieures, et nos trois années de classes médianes. Papa pense que si un jour j’entre en classe supérieure, je n’arriverais toujours pas à me souvenir de la définition des principes physiques fondamentaux.

    Vous vous rendez compte de toutes les choses inutiles qu’on nous force à apprendre, avant de nous laisser choisir notre voie ? Le directeur de l’USS, un ami de mon grand-père, pense que plus on apprend tôt, plus la connaissance du monde avancera vite. Et cet homme est à la tête du gouvernement planétaire ? Apprend qui veut, moi je préfère toujours m’amuser avec mes amis et explorer les confins des bas-quartiers de la ville-flottante. Comment, vous ne le saviez pas ? Il y a quelques décennies, l’oxygène est devenu trop rare en surface pour que la population planétaire puisse y vivre correctement. L’USS a été créée pour protéger les habitants de la planète, et a fait construire d’immenses ponts et plateformes grâce à une technologie très performante, pour atteindre un endroit de l’atmosphère où l’oxygène est plus abondant.

    Papa m’a expliqué que si on était montés trop haut, il n’y aurait plus eu d’oxygène du tout, et on serait tous morts. Du coup, on est coincés entre le sol inaccessible et l’espace incertain. Mais les bas-quartiers, plutôt pauvres et dangereux, sont pourtant un excellent terrain de jeu ! Habitant les hautes-couches de la ville, je n’ai théoriquement pas le droit de m’y rendre, mais j’y vais régulièrement pour voir mes amis, et explorer les zones non surveillées menant à ce qu’on appelle la « terre ferme ». J’ai très envie d’y aller, mais mes parents s’inquièteraient si je ne pouvais plus remonter, et je n’ai pas envie de manquer d’oxygène. D’après les Maîtres des Classes, c’est extrêmement dangereux si on n’a pas de vaisseau, de s’aventurer En Bas.

    Pourtant, En Bas… après avoir passé ma tête par une de ces « lucarnes » entrouvertes pour regarder à quoi ressemble l’Ancien Monde, j’ai très envie d’y aller. A côté, toutes nos excursions dans les bas-quartiers nous semblent fades, et plus aussi amusantes qu’avant, car même si on ne connait pas tous les recoins de la ville pauvre, on se doute de ce qu’on va trouver quelques mètres plus loin. Ce qu’on a voulu, par-dessus tout, c’est une aventure dans l’inconnu, vers l’inconnu. Enfin, c’est surtout moi qui en rêve. Les autres ont peur de ce qu’ils ne connaissent pas. Ils n’osent même pas se pencher à travers la Lucarne, pensent qu’ils vont tomber, et qu’on ne les recherchera pas parce qu’ils sont issus de familles pauvres et sans intérêt pour le monde d’En Haut.

    Et ils n’ont pas tord. Leurs peluches n’ont pas droit à un numéro spécial permettant d’identifier leur propriétaire, renseignant sur leur nom, prénom, âge et adresse, comme les nôtres, dans les Hautes Couches. Papa et Maman nous ont dis d’en garder toujours une sur nous, au cas où on se perdrait, à Caprice et à moi. Mais c’est ridicule de se trimbaler sa peluche partout, surtout quand on s’aventure en terres interdites, car les patrouilles de l’USS peuvent savoir où on est et venir nous chercher, pour nous ramener à nos parents. S’ils me surprennent à traîner dans le Bas Monde, j’aurais de gros problème avec mes parents, qui ne me laisseront sans doute plus jamais sortir ou aller au Stade de Course pour faire des concours d’aéroglisseur.

    Mais cette fois-ci, je prends une de ces peluches avec moi. Je la mets dans le sac que j’utilise quand je pars en voyage avec mes grands-parents, parce qu’il est plutôt grand, et solide. C’est ma plus grosse peluche, et je l’ai choisie parce que l’émetteur qui est dedans doit être très gros, lui aussi. Elle prend presque toute la place dans mon sac à dos, mais tant pis. Cette fois-ci, j’en ai besoin. Je n’ai pas envie de me retrouver seul pour toujours sur la Terre Ferme, et comme mes parents habitent les Hauts Quartiers de la ville, l’USS me cherchera sans doute, si j’ai ma peluche avec moi. Il paraît que je suis trop curieux, mais quand on ne l’est pas assez, on se fait aussi réprimander, donc j’imagine que la curiosité est toujours un sujet de disputes. Mais moi, je suis sur le point de partir explorer l’Ancien Monde, quand même.

    J’enfile mon manteau – celui qui m’arrive au-dessus des genoux, de couleur noire et blanche, parce que c’est celui que je dois porter quand on assiste aux réunions de mon père avec les enfants des autres membres de son équipe - : il paraît qu’il est ‘‘classe’’, donc si je vois d’autres gens en bas, ils sauront que je ne suis pas n’importe qui. Je mets les botes qui vont avec, j’emporte deux barres de chocolat – même si sa coûte très cher, parce que le lait est devenu rare, c’est toujours aussi bon qu’avant, d’après ma grand-mère -, que je glisse dans mon sac. J’ajoute encore quelques affaires essentielles à mon paquetage et je suis prêt à partir explorer le monde d’En Bas.

    Et là, une idée me traverse l’esprit. Je n’y songe pas, d’abord, puis me rend compte que je vais être tout seul, arrivé dans l’Ancien Monde. Je vais m’ennuyer, si je ne peux pas remonter avant que l’USS ne vienne me chercher. Si j’entraîne des amis avec moi, les agents de mon père me prendront pour un enfant des bas quartiers, puisque même si j’ai une peluche, je ne me rappelle pas de son numéro. Ils croiront que je l’ai volé. Si je leur dit que je l’ai appelé Zoza parce que c’est plus facile à retenir, ils vont se moquer de moi et me laisser En Bas. Il n’y a pas beaucoup de personnes que j’apprécie, dans les hauts quartiers. J’entends ma sœur jouer dans sa chambre. L’idée s’arrête dans ma tête. Je n’ai plus qu’à la mettre en place !

    Je n’ai qu’à articuler un mot de passe en imitant la voix de ma sœur pour ouvrir la porte de son domaine. La pièce est remplie de jouets, de livres, de coussins. Tout cela a du coûter une fortune à mes parents ! Heureusement que mon père a un bon poste au sein de l’USS. J’hésite encore, entre dans la chambre. Même si je ne lui demande pas de m’accompagner, elle va savoir qu’il se passe quelque chose, maintenant, pas besoin d’avoir appris le Grand Lexique Général par cœur pour ça. Si je lui dis où je vais, elle va tout de suite en parler à Maman, qui prend le thé avec ses amies. Elle m’accusera encore d’aller faire de l’aéroglisseur dans les basses couches de la ville et je serai puni. Encore.

    Tant pis, je préfère être tout seul, et explorer quand même. Je lui demande si tout va bien, elle me répond que non, puisque je suis dans sa chambre et que je n’ai rien à y faire ; et quand je lui demande si elle ne s’ennuie pas, elle me jette à la porte. La porte se ferme brutalement. Bien sûr, elle ne peut pas claquer, car le système de fermeture automatique l’en empêche, mais cette fois-ci, elle n’en était vraiment pas loin. Tant pis pour elle, elle restera une simple enfant très douée en classe, alors que moi, je serais celui qui aura marché sur la Terre Ferme pour la première fois depuis la construction des villes célestes. J’attrape mon sac, ouvre discrètement la porte d’entrée, et dévale les rues en courant. Il me faut descendre.

    La Lucarne que j’ai repérée la dernière fois est en vue, maintenant, et je ralentie ma course. C’est fatigant de faire tout ce chemin à pied, sans s’arrêter ! Je pose mon sac juste à côté, passe ma tête à travers, cherchant un pilier de soutient. C’est ce qui maintient les villes en hauteur, et aussi ce qui va me permettre d’atteindre l’Ancien Monde. Mais je n’en vois pas d’assez proche pour que je puisse m’en servir… La déception me gagne, peu à peu, je me relève, m’apprête à reprendre mon sac et à faire tout le chemin inverse pour rentrer chez moi, quand je me rends compte que ma sœur se tient juste devant moi, les points sur les hanches, le regard accusateur. Elle me fait penser à Maman, dans ces moments-là, et j’ai horreur de ça. J’aurais du m’en douter, pourtant ! Cette petite peste m’a suivi jusqu’en bas, et je suis persuadé qu’elle va tout répéter à nos parents. Je n’aime pas ce genre de situations. Je n’aime pas me disputer avec les autres, parce que je sais que mes mots dépassent souvent ma pensée. Parce que je sais que je m’énerve, et que ça fait de la peine aux autres. Je n’aime pas me disputer avec ma sœur. Elle a beau être très agaçante, c’est quand même ma sœur, et elle peut se montrer gentille de temps en temps. Je ne veux pas lui faire de peine.

    Mais elle commence à m’expliquer que je n’ai rien à faire ici, à me faire la morale, braillant que la ville pauvre est dangereuse, et que si l’USS nous trouve ici, on aura des problèmes, et patati et patata. Elle ne fait que répéter ce que Maman nous raconte à longueur de journée, mais en fait, elle ne doit pas savoir que cette partie de la ville n’est pas si risquée que ça, quand on connaît un peu l’endroit. Et ça y est, je l’attendais, celle-là ! « Je vais le diiiiiire à Mamaaaaaaan, t’as pas le droit d’être là »… Pfff…Je sais qu’elle va mal le prendre, mais je ne supporte pas son ton prétentieux :

    « Euh… Tu sais que toi non plus, tu n’as pas le droit d’être là ? »

    S’ensuit un échange d’insultes digne de nous, « rapporteuse », « inconscient », « trouillarde » et autres « même pas vrai d’abord » fusent des deux côtés, accompagnés de pointages de doigts, tirages de langue et grimaces en tout genre. Et là, je commence à perdre patience. Pour toutes les fois où je me suis fait punir à cause d’elle. Pour toutes les fois où elle est allée mentir à mes parents pour que je sois privé de sortie dans le parc. Pour toutes les fois où sont comportement m’a énervé au plus au point.

    « Au fait, je te l’ai jamais dit ? Ta coupe de cheveux est moche ; regarde ces mèches qui pendouillent, c’est ridicule ! »

    Pourquoi j’ai dit ça ? Est-ce que je voulais vraiment lui faire du mal ?

    Elle commence à s’avancer vers moi, les sourcils froncés, le regard assassin. Elle me fait peur, quand elle est comme ça, j’ai l’impression qu’elle va me sauter à la gorge pour m’étrangler. D’ailleurs, c’est sans doute ce qu’elle compte faire. M’étrangler. Si elle s’approche avec l’intension de se battre, je l’attends de pied ferme ! Mais une fois encore, je dois me raisonner : je n’ai pas envie de frapper ma sœur. Se battre avec mes amis est une chose, mais avec Caprice ? Avec un peu de chance, je réussirais peut-être à la semer sur le chemin de la maison, et on n’aura pas à en arriver là. Je recule prudemment, attendant le bon moment pour m’élancer sur la route, pas à pas… Et je sens le sol se dérober sous mes pieds.

    Ou plutôt, je sens sous mes pieds l’absence de sol. Caprice fait une drôle de tête, et essaie de me rattraper, de mon côté, j’accroche tout ce qui me passe sous la main pour ne pas m’écraser En Bas ; tout ce que je trouve à agripper, c’est une bretelle de mon sac à dos, qui glisse avec moi. Je sens la main de ma sœur se refermer sur mon poignet gauche, mais la charge est trop lourde pour elle, et elle tombe avec moi.

    Il y a un long moment de flottement. Cette chute est comme un manège, comme une course d’aéroglisseur. Sans manège. Sans aéroglisseur. Il paraît qu’avec les changements de pression, il ne faut pas retenir sa respiration trop longtemps, sinon on peut mourir. Je ne sais pas reconnaître un changement de pression, moi, donc je me contente de respirer normalement, en espérant qu’il ne m’arrive rien. On traverse une fine couche de nuage, langue d’écume sur le ciel océan. Du coup, quelques goûtes perlent sur nos vêtements, pendant quelques secondes, avant de s’évaporer.

    Je vois la Terre Ferme ; couverte de plantes jaune pâle, c’est ce qu’on appelle un champ. Je n’en avais jamais vu pour de vrai, avant, m’étant contenté des vieilles « photographies » archivées dans la Virtuothèque de d’école, prise au temps où les gens vivaient encore En Bas. Ce champ, il était loin. Maintenant, il est tout proche. Un long cri m’échappe, vous savez, ce « aaaaaaah » caractéristique d’une longue chute présageant un atterrissage douloureux. J’ai aussi un peu peur pour Caprice, puisqu’elle est assez fragile, et qu’elle n’a pas l’habitude de se prendre des coups. J’espère qu’il ne va rien lui arriver de grave… Par ma faute !


    * * * * *

    La suite en R.P. ! Et je tenais aussi à remercier Antigone pour ses idées merveilleuses et l'aide qu'elle m'a apporté durant la rédaction de l'histoire. Merci beaucoup, Déesse du R.P. ! <3
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MessageSujet: Re: Rallen Héméra   Rallen Héméra EmptyJeu 16 Juin - 23:20

Tout est en règle, tout va bien. Un avatar peut être ? Quoiqu'il en soit : VALIDÉE !
Et bravo à toi Reine des Idées, le monde de base est juste vraiment génial^^

Je t'en prie, tu peut d'ors et déjà poster dans l'Aérostade. Tu connais le principe il me semble ?
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MessageSujet: Re: Rallen Héméra   Rallen Héméra EmptyVen 17 Juin - 5:40

    || Okay, merci ! =) Et pour l'avatar... je suis désespérée... TT_TT J'en ai mis un en attendant qu'un mieux me tombe dessus, mais... Uhm, sans commentaire. x) En tout cas, je poste ! <3

    || Edit : Bon, finalement, j'ai trouvé quelque chose de potable ! =)
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MessageSujet: Re: Rallen Héméra   Rallen Héméra Empty

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